tag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post734669055251863138..comments2024-02-28T18:06:12.197+01:00Comments on volle.com: La clé de l’économie contemporaineMichel Vollehttp://www.blogger.com/profile/02758819892464278158noreply@blogger.comBlogger16125tag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-89499776081165245342021-09-06T13:31:14.741+02:002021-09-06T13:31:14.741+02:00Je le retrouve beaucoup dans les commentaires que ...Je le retrouve beaucoup dans les commentaires que tu développes dans cet article<br />Notamment dans la réintroduction de la métaphysique dans la réflexion économique<br />Les économistes se sont trop isolés des autres dimensions de la société dans leurs réflexions et leurs affirmations et le passage par l’économétrie au asséché et réduit la pertinence de leur discours<br />Je suis ici très proche des idées de Dominique Meda <br />Sur le passage à l’iconomie nous sommes bien sur totalement en phase et il faut continuer à enfoncer le pieu pour être entendusYves Franchethttps://www.blogger.com/profile/04675386719664601554noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-51556033299358038522021-09-03T08:10:47.299+02:002021-09-03T08:10:47.299+02:00Bonjour Michel, "license to operate" au ...Bonjour Michel, "license to operate" au sens de “Grant of permission to undertake a trade or carry out a business activity, subject to regulation or supervision by the licensing authority.” (https://link.springer.com/referenceworkentry/10.1007%2F978-3-642-28036-8_502)<br /><br />Sur le "winner takes all", nous sommes bien d'accord : le gagnant prend tout dans une certaine niche et pendant un certain temps, le temps que sa niche soit rendue obsolète par une offensive de la concurrence. FrédéricLNhttps://www.blogger.com/profile/16284999364905013217noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-27638876560608296032021-08-31T17:42:22.073+02:002021-08-31T17:42:22.073+02:00Merci Frédéric ! Quelques remarques :
- L’animate...Merci Frédéric ! Quelques remarques : <br />- L’animateur a un « regard large » parce qu’une « raison raisonnable » entoure l’exercice de sa « raison rationnelle » (cf. « Le rationnel et le raisonnable », http://michelvolle.blogspot.com/2020/03/le-rationnel-et-le-raisonnable.html).<br />- L’adage « the winner takes all » est contredit par les faits : Amazon est concurrencé par Alibaba et Jumia, l’iPhone d’Apple est concurrencé par les « smartphones » de Samsung, Xiaomi, etc. Sous le régime de la concurrence monopolistique les monopole sont temporaires.<br />- J’ignore tout de la « license to operate ». Peux-tu m’éclairer ? Michel Vollehttps://www.blogger.com/profile/02758819892464278158noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-23461076450207522432021-08-31T17:19:59.660+02:002021-08-31T17:19:59.660+02:00Merci pour l'envoi de votre analyse, fort inté...Merci pour l'envoi de votre analyse, fort intéressante. Michel Vollehttps://www.blogger.com/profile/02758819892464278158noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-59099223697997444642021-08-30T19:52:36.987+02:002021-08-30T19:52:36.987+02:00Merci Michel pour ce texte. Certes déjà familier d...Merci Michel pour ce texte. Certes déjà familier de tes livres et des travaux de l'Institut de l'Iconomie, j'y ai pourtant trouvé deux idées qui je n'y avais pas encore repérées : d'une part une caractérisation de l'animateur par son regard large sur le contexte de son action. Ce n'est sans doute pas une condition suffisante pour se comporter en animateur, mais certainement une condition nécessaire… proche du modèle de d'Iribarne comme tu l'écris, elle sort clairement du modèle "contractuel" de la relation de travail, "à l'américaine". Elle rappelle ce que décrivaient, de façon certes imprécise, les auteurs du "Prix de l'excellence".<br /><br />D'autre part, l'incidente ô combien pertinente sur le fait que le métier d'entrepreneur, ou de dirigeant d'entreprise, ne consiste qu'en partie (voire peu, à mon sens), à prendre des risques ; tout policier ou tout infirmer en prennent beaucoup plus, dans sa journée, que beaucoup d'excellents dirigeants d'entreprise ; on pourrait prétendre que la mission du dirigeant consiste même à éviter les risques, que la prudence est la première des vertus (Andy Groove, je crois, estimait que 'only paranoids survive').<br /><br />Une bonne vision, et plus, une sensation directe aussi bien de l'état de ses équipes que de ses interlocuteurs et du "marché" au-delà, sans doute appuyée sur une compréhension des mécanismes et logiques profondes de la production et de l'économie, contribuent certainement à limiter les prises de risques inutiles comme les décisions absurdes.<br /><br />Je souscris aussi à l'essentiel du commentaire précédent sur les rapports de force, absents, je crois, de l'économie classique (à ce que je comprends, la force y est supposée entièrement résumée par le portefeuille) ; ils sont présents, dans l'iconomie, comme conséquences de la règle "winner takes all" qui lui est propre ; mais ils n'y sont pas pour autant modélisés, je crois.<br /><br />Une *vieille* enquête auprès de dirigeants montrait que les sujets environnementaux (réchauffement, biodiversité…) les touchaient essentiellement s'ils menaçaient leur "license to operate". Le distributeur de "license" est le plus fort en dernier recours ; on le voit rarement apparaître car la dynamique de mondialisation tendait (explicitement) à l'éliminer. Écrire "c'est l'État" est sans doute un raccourci trop brutal : l'État est à peine une personne, et les décisions de l'État s'achètent. Peut-être y a-t-il une piste de modélisation *économique* de l'attribution de "license" — peut-être que ça existe déjà amplement et que c'est mon ignorance qui s'exprime ici !!! FrédéricLNhttps://www.blogger.com/profile/16284999364905013217noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-64493148794875344002021-08-27T15:07:15.704+02:002021-08-27T15:07:15.704+02:00Encore un texte courageux et provocateur de Michel...Encore un texte courageux et provocateur de Michel ;-) <br />Hugues Chevallier (par mail) a raison de mentionner Georges Doriot, désigné en 1999 comme l’une des personnalités ayant le plus contribué au changement du monde de l’entreprise au XXe siècle.<br />À cheval entre culture militaire et économique, il a introduit (comme Robert Papin) d'autres approches dans la formation économique (étude pragmatique par les cas, création du capital-risque, culture de l'offensive et lien avec le politique). <br />La France apparaît encore trop désarmée mentalement et idéologiquement face à un monde qui pratique les rapports de force économiques sans complexes et demande de concilier action concrète et appréhension de l'environnement global, ce qui nous renvoie à la perspective que nous tend clairement Michel dans son billet.<br /><br />Sauf que, et j'ajouterais un angle mort non abordé dans ton billet Michel, et peut-être des travaux de l'institut (que je commence à connaître davantage). <br />Globalement, les théories économiques sont restées en-deçà de la réalité des rapports de force. A commencer par l’esclavage qui est resté tabou dans l’analyse de l’économie de marché (alors qu'il a joué un rôle prédominant depuis les premiers empires de l’antiquité jusqu’au développement des nouveaux continents comme l’Amérique au XIXe siècle). Idem bien plus tard avec les affrontements Est-Ouest entre capitalistes et communistes qui masquèrent les rivalités internes à chaque bloc au nom de la lutte contre l'ennemi désigné (rappelons que le Japon a utilisé intelligemment la menace soviétique pour gagner des marges de manœuvre et développer sa puissance économique). Jusqu'à 1990 (et avant) où l'économie s'est irréversiblement encastrée dans le regain de puissance nationale, phénomène qui trouvera son expression avec la projection nord-américaine dans l'informatisation du monde. Des gens comme Verschave dévoilent un volet de la prédation économique, mais ils restent en dehors de la discipline économique.<br /><br />Les économistes ne vivent-ils pas un malaise avec la question de la domination et de la violence qui sont rattachées, depuis Hobbes et Weber, au politique? La machine de guerre économique étasunienne est formidablement drapée dans la lumière d'une théorie néolibérale qui est muette sur ces sujets. En France et en Europe, cette omission voire ce renoncement volontaire me parait évident (le rapport Blanchard-Tirole le souligne une fois de plus). L'informatisation a émergé finalement dans un nouvel état d'interdépendance entre l'économique, le militaire et le politique qui reformule la conflictualité. Or là je pense que l'iconomie devrait s'exprimer davantage. Certes, elle évoque bien l'idée que les plus aptes à se saisir des moteurs de l'informatisation (dont les entrepreneurs-animateurs) seront les maîtres du jeu dans une économie en mutation vers l'immatériel. Mais il ne s'agit pas simplement du retour d'un féodalisme, d'une menace de l'état de droit par les monopoles qui grignote au final les fondements de l'équilibre général (Hicks, Allais). L'iconomie devrait aussi incorporer ce nouvel encastrement et se positionner comme l'une des modalités de prédilection dans les affrontements sociétaux, territoriaux et géopolitiques (états). Autrement dit, l'iconomie est par nature "géo-iconomie". Elle est même une condition pour insérer son économie dans le format contemporain de la globalisation. Les entrepreneurs, en plus des ingrédients que rappelle Michel, doivent se former aux rapports de force, comprendre leur évolution, devenir d'agiles combattants en informatisation et en intelligence économique par delà les modèles en vigueur qui ont un temps de retard sur les réalités. <br /><br />De fait, il me semble que les groupes de travail actuellement en cours reflètent certains de ces rapports de force: Vincent avec les brevets et la Chine; la compétition bancaires autour de l'e-banking...etc.Unknownhttps://www.blogger.com/profile/12134506455499862841noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-12106766748117194452021-08-26T19:01:17.512+02:002021-08-26T19:01:17.512+02:00Bonjour Michel
Je refais surface après plusieurs a...Bonjour Michel<br />Je refais surface après plusieurs années de léthargie pour des raisons médico-familiales (sans rapport avec le Covid) et j'aimerais rester aussi actif qu'il est possible de l'être à mon âge. C'est pourquoi je viens de m'inscrire sur Linkedin, ce qui me permet de te retrouver.<br /><br />Mes parents étaient petits commerçants et je retrouve tout à fait mon père dans le portrait que tu fais au début de ton texte.<br />Sur l'entreprise, voici un texte extrait de mon livre "B.A.BA d'économie", que je vais mettre dans un blog que je viens tout juste de créer. Je pense que tu y reconnaîtras pas mal des idées que tu exprimes.<br />https://gdrean.wixsite.com/website/post/la-production-et-l-entreprise<br /><br />Là où je ne suis plus (tout à fait) d'accord, c'est quand tu écris "es économistes se partagent en France, aujourd’hui, entre deux écoles : l’une, dite « orthodoxe » ou « néoclassique », est celle que l’on rencontre dans les écrits de Jean Tirole ; l’autre, dite « hétérodoxe », se trouve dans ceux d’André Orléan, Michel Aglietta, etc.". C'est hélas presque vrai mais il en reste quelques-uns qui sont fidèles à la seule tradition qui mérite qu'on la suive: celle que j'appelle "franco-autrichienne". Un autre article qui développe mon analyse :<br />https://gdrean.wixsite.com/website/post/la-vraie-histoire-de-la-pensée-économique<br />Gérard Dréanhttps://www.blogger.com/profile/13847222757419959561noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-834238615210562992021-08-25T10:11:51.450+02:002021-08-25T10:11:51.450+02:00Je suis 100% d'accord avec toi Jean Pierre, ce...Je suis 100% d'accord avec toi Jean Pierre, ce texte est fondamental. Il est énormissime. Les gens qui passent à côté font fausse route. Bravo à toi et à Michel pour ces beaux ouvrages réalisés sur l'iconomie !! Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/07121884687900423929noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-58644480192790735992021-08-25T09:46:11.262+02:002021-08-25T09:46:11.262+02:00merci pour ta réponse Michel !! merci pour ta réponse Michel !! Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/07121884687900423929noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-80141241854405684572021-08-25T09:40:09.467+02:002021-08-25T09:40:09.467+02:00Beaucoup de tâches ne sont pas répétitives : la co...Beaucoup de tâches ne sont pas répétitives : la conception, l'organisation, l'ingénierie, les relations interpersonnelles (notamment avec les clients), etc. Les compétences existent, elles sont même répandues dans la population comme le montre l'activité des bons commerçants. La symbiose du cerveau humain et de l'ordinateur a cependant fait émerger un être nouveau, le "cerveau-d'oeuvre", qu'il faut savoir concevoir et organiser. C'est là que se jouent la réussite ou l'échec. Michel Vollehttps://www.blogger.com/profile/02758819892464278158noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-15263686133906941502021-08-25T09:14:08.866+02:002021-08-25T09:14:08.866+02:00Je trouve ce texte excellent car il met en évidenc...Je trouve ce texte excellent car il met en évidence ce que nous déplorons depuis que nous travaillons ensemble, la sous-estimation totale de l'impact de l'informatisation de la société sur l'économie. Ce qui doit bien faire rire Jeff Bezos, Tim Cook, Elon Musk et quelques autres qui eux ont compris qu'il ne s'agissait pas de "saponifier" les processus des entreprises (c'est à dire faire entrer au chausse-pied le fonctionnement de l'entreprise dans un ERP d'origine allemande) mais d'inventer des produits, services et processus qui ne peuvent exister sans traitement informatique. Mais cette méprise fondamentale avait commencé avec Solow dès 1987 ! Le drame est que le MEDEF n'a jamais compris cela ( j'ai été pourtant longtemps membre de sa commission numérique) que l'Etat régalien non plus (et j'ai participé pendant dix ans à tous les plans de numérisation des PME). Comme la doxa économique est propagée par ces cercles de pouvoir, la tâche est difficile. Ce sont d'ailleurs les mêmes qui ont expliqué que l'on pouvait faire de l'économie sans industrie...<br />Nous sommes donc bien coincés dans un marais idéologique qui considère que Google ce n'est pas de l"économie... Nos efforts doivent nous exfiltrer de cette poisse qui contribue au manque de compétitivité de la France au moment où il n'est pas possible de concevoir une machine, ou un processus, sans l'informatisation qui va les supporter. Dans la plupart des entreprises on sépare encore "informatique de gestion" de "l'informatique de process", et tout ceci de la "gestion des données" (vécu en 2021) ! Les pôles de compétitivité font leur travail d'évangélisation et rapprochent start-up , grandes entreprises et universités. Pour que la colle prenne, il ne faut pas entonner des péans à la gloire des<br />Capture d’écran 2021-08-24 à 12.26.23.png<br /> start-up mais faire en sorte que la robotisation, l'automatisation du "shop floor" soit au service du produit et du client. Il faudrait se demander sérieusement pourquoi l'Italie a deux fois plus de robots que la France et un excédent commercial équivalent à notre déficit ? Certainement Philippot et Zemmour ont une réponse appropriée !<br /><br />Cela reste une terre de mission dans ce pays qui préfère avec obstination les idées aux faits.Jean-Pierre Corniouhttps://www.blogger.com/profile/04463175500524997450noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-78634210391825479952021-08-24T07:28:02.127+02:002021-08-24T07:28:02.127+02:00Merci Michel pour ta réponse. Tu dis que le commer...Merci Michel pour ta réponse. Tu dis que le commerce (entre autre) ne peut pas complètement s'automatiser car ça ne comporte pas que des tâches répétitives. Mais si je comprends bien (et corrige moi si je me trompe STP !), ça ne veut pas dire que la forme de faire du commerce n'évoluera pas. On automatise ce qui est répétable et on laisse à l'humain ce qui ne l'est pas. Cette transformation exige de savoir où l'être humain est bon et amène de la valeur. En d'autres termes,la question à se poser est : qu'est-ce qui est répétable ? <br />Est-ce une question suffisante ou y-a-t-il d'autres questions à se poser ? <br />merci pour ton éclairage Michel !!<br />olivier Piuzzi Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/07121884687900423929noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-17066355114514714432021-08-23T17:37:05.962+02:002021-08-23T17:37:05.962+02:00Les trois-quarts de la population active en France...Les trois-quarts de la population active en France travaillent déjà dans le secteur tertiaire.<br />Seules les tâches répétitives se prêtent à l’automatisation. Les produits de l’économie informatisée comportent une importante part de services qui exigent une compétence relationnelle et ne sont donc pas automatisables : Amazon elle-même emploie des personnes compétentes et aimables qui répondent au client dans un « chat » en cas de difficulté. Michel Vollehttps://www.blogger.com/profile/02758819892464278158noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-43851529705604805032021-08-23T16:38:42.864+02:002021-08-23T16:38:42.864+02:00Je lis et relis ton texte Michel, et je me dis qu&...Je lis et relis ton texte Michel, et je me dis qu'un animateur qui n'est pas en conscience de ce qu'il amène, construit sa perte. Les changements majeurs que l'on voit déjà avec l'informatisation : cerveau d'oeuvre, valeurs de l'entreprise, concurrence monopolistique m'amène à penser que l'on peut automatiser beaucoup de tâches. Le commerçant dont tu parles au début, qui connait ses clients peut être remplacé par une sorte d'Amazon (par exemple). S'il ne valorise pas plus son activité (ses compétences) auprès de ses clients ( clients qui trouvent l’attitude de commerçant "normale" comme tu le décris), il sera remplacé. Qu'n penses-tu ? merci !! olivier Piuzzi ! Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/07121884687900423929noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-37790516914595687702021-08-23T16:09:17.782+02:002021-08-23T16:09:17.782+02:00Pour parler de régulation de concurrence monopolis...Pour parler de régulation de concurrence monopolistique, que dis-tu des agissements du pouvoir chinois vis à vis de certaines entreprises cotées (depuis Jack Ma en octobre 2020 à aujourd'hui 08/21). Celles-ci ont vu leur cours de bourse dévisser. merci pour ton éclairage !! <br />olivier Piuzzi Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/07121884687900423929noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7361670993108016283.post-712830502062519082021-08-23T16:05:41.599+02:002021-08-23T16:05:41.599+02:00Bravo Michel pour ce texte impeccable !!
Continue ...Bravo Michel pour ce texte impeccable !!<br />Continue de nous régaler !<br />J'espère que l'institut de l'iconomie continuera à être lu comme tu le souhaites.<br />à très bientôt<br />olivier Piuzzi<br />Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/07121884687900423929noreply@blogger.com