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Résumé des chapitres précédents :Hande est une grande entreprise qui vient de frôler la faillite. Le nouveau président, Jean Bonhomme, a demandé à Marc Dutertre de l'aider à en faire une "entreprise-réseau". La DSI est en crise, les utilisateurs du SI ne sont pas satisfaits.
Dutertre prépare avec la directrice de la communication un tableau de bord mensuel pour le comité de direction. Un soir, il découvre grâce à elle les plaisirs de la sensualité ; par la suite elle refuse de le revoir et ça le déconcerte.
Le directeur financier lui demande d'expertiser les salles de marché du groupe. Un collaborateur découvre qu'il était possible de faire gagner des milliards à Hande en rectifiant une erreur.
Dutertre envoie à Bonhomme une note "stratégique" et se réconcilie avec la dircom'. Dutertre approfondit sa compréhension de l'entreprise et de son propre rôle de consultant. Mais il apprend que le directeur financier veut "avoir sa peau"...
... et il doit se défendre, Hande préfère finalement ne pas corriger son erreur mais il sauve sa peau. La réflexion sur la stratégie en matière de SI se poursuit en s'approfondissant.
Un de ses collaborateurs est tué dans un accident de voiture. Certains se demandent s'il n'y a pas eu un complot, mais il s'avère que cet accident était dû au hasard.
Dutertre envoie à Bonhomme une note qui l'alerte sur les risques que prend Costar, le grand projet informatique de Hande. Mais malgré la catastrophe prévisible il n'est pas écouté. Il prend goût au calvados, un peu trop peut-être
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En cliquant sur Le Parador vous téléchargerez une version à jour, comprenant tous les chapitres publiés jusqu'ici ainsi que les chapitres 20 et 21, qui sont nouveaux.Il m'a semblé en effet préférable de publier Le Parador au format pdf seulement et de ne plus le publier en HTML : il m'arrive en effet de corriger les chapitres précédents et il est pénible de maintenir la cohérence entre les deux versions.
Je vous souhaite une bonne lecture !
Bonjour,
RépondreSupprimerJ'ai bien aimé le dialogue entre Leblond, Lebrun et Leroux. Et surtout la claque finale : il est gentil / naif.
D'ailleurs, à l'écouter, il a 2 catégories de personnes : les salauds-pessimistes-clairvoyants et les gentils-naifs.
Ceci dit, j'aime aussi tout le reste de votre roman.
Hervé
Bonjour,
RépondreSupprimerc'est toujours pareil ! On lit la nouvelle livraison, on est passionné, et au bout d'un paragraphe, tombe sur le fatidique "À suivre" !
Frustrant !
@BBlog des Amateurs d'économétrie
RépondreSupprimer"À suivre", c'est la dure loi du feuilleton !
Encore trois chapitres et vous verrez le bout du Parador, promis.