lundi 5 décembre 2011

Le Parador

Le Parador, ce roman que j'avais publié au format pdf, vient d'être édité sous la forme d'un livre que l'on trouve chez amazon.fr en cliquant sur l'encadré ci-contre.

On le trouve aussi chez l'éditeur à l'adresse http://www.ilv-edition.com/librairie/parador.html.

Il décrit les intrigues et conflits qui se nouent dans la grande entreprise, scandés par les aventures et mésaventures d'un consultant qui s'efforce d'améliorer le système d'information.

Les lecteurs de volle.com pourront offrir Le Parador à ceux de leurs amis qui travaillent dans une grande entreprise - en particulier si ce sont des consultants, ces « mendiants glorieux ».

Le but de la littérature n'est-il pas en effet de nous encourager à penser notre expérience en mettant en scène les situations que nous vivons, et en proposant les mots et les images qui permettront de se les représenter ?

Pour les politique et les médias la grande entreprise est une boîte noire : ils voient ce qui y entre (des emplois, des matières premières) et ce qui en sort (des produits, des déchets), mais ils ignorent tout de sa vie intime.

Le Parador ambitionne de dévoiler cette intimité en faisant penser et rêver à voix haute des dirigeants, des salariés et des consultants. La violence existe dans la grande entreprise, mais sous une forme plus feutrée et beaucoup plus intéressante que ces revolvers et poursuites en voiture qui font l'essentiel de tant de livres et de films.

7 commentaires:

  1. Pari réussi Monsieur VOLLE! J'ai lu Le Parador comme vos petits enfants écoutent les histoires de l'aventureux Robert.
    Merci.

    RépondreSupprimer
  2. Serait-il possible de l'avoir au format ePub ?
    C'est plus agréable à lire que le PDF, et ça prendrait moins de place sur ma bibliothèque surchargée.

    RépondreSupprimer
  3. @Yves Constantinidis
    Merci de m'avoir signalé ePub, je ne le connaissais pas.
    Je vais l'étudier.

    RépondreSupprimer
  4. Pour ma part, j'ai adoré !!!
    Bravo Michel !

    RépondreSupprimer
  5. La lecture de votre roman a occupé mon dimanche après-midi. Je l’ai lu d’une traite. La rencontre avec votre livre est donc l’heureux résultat d’une flânerie : j’y suis arrivé en remontant de votre remarquable interview dans le blog « Lois des réseaux », que je n’avais jamais consulté (et dont je ne me souviens plus ce qui m’y a mené), à votre site personnel.
    Le monde de l’entreprise ne m’est pas familier. En revanche, la question de sa mise en fiction, par le roman, au cinéma, au théâtre ou à la télévision, m’a toujours intéressé. À ce jour, aucune des tentatives qui ont été faites ne m’a entièrement convaincu. Peut-être, me disais-je, est-ce impossible. Peut-être ne peut-on, si l’on en traite, éviter de tomber, au choix, dans la caricature, la farce, la bêtise, la dénonciation, le moralisme, la simplification, l'invention de péripéties arbitraires, le hors-sujet, etc. (La liste serait longue.)
    Ce que vous avez écrit redonne espoir, et je suis étonné que vous n’ayez pas trouvé d’éditeur véritable. Avez-vous eu, ou avez-vous encore, l’envie de poursuivre, de creuser dans cette voie ? Ou bien cette première tentative romanesque restera-t-elle sans lendemain ?
    Tout en lisant, je me posais, car tel est mon métier, la question d’une adaptation possible. Je dois vous avouer que je n’avais pas trop de réponses. Mais, outre le plaisir de la lecture, et en dépit de mon désaccord absolu avec votre personnage sur la musique de Chopin, c'était vraiment très stimulant, et de cela, je tenais à vous remercier.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci pour ce commentaire !
      J'ai passé l'âge où l'on se donne du mal pour trouver un "éditeur véritable".
      J'ai l'intention de donner une suite au Parador, mais j'ai été accaparé par d'autres travaux.
      Une adaptation, pourquoi pas ? Si vous avez une idée...

      Supprimer
  6. J'ai trouvé la lecture de votre roman très agréable grâce à une admirable écriture, certains passages sublimes et un rythme haletant, mais la fin, désespérante à mon goût, m'a atrocement déçu. Mais le désespoir est peut-être le début de la sagesse.

    RépondreSupprimer